Si vous êtes en master et que vous devez rédiger un mémoire de recherche, vous savez que le choix du directeur de mémoire est une étape cruciale. Il s’agit de la personne qui va vous accompagner tout au long de votre projet, vous conseiller, vous orienter, vous corriger et vous évaluer. Il est donc important de bien choisir votre directeur de mémoire et de nouer une relation de confiance et de respect avec lui. Voici quelques conseils pour une bonne collaboration avec votre directeur de mémoire.
1. Choisissez un directeur de mémoire compétent et disponible.
Il faut que votre directeur de mémoire soit un spécialiste du sujet que vous avez choisi, qu’il soit à jour des dernières avancées dans le domaine et qu’il puisse vous apporter des références pertinentes. Il faut aussi qu’il soit disponible pour vous recevoir régulièrement, pour répondre à vos questions et pour lire vos brouillons. Renseignez-vous auprès des anciens étudiants ou des collègues du directeur de mémoire pour connaître sa réputation et son style de travail .
Choisir un directeur de mémoire compétent et disponible est une étape cruciale pour réussir votre projet de recherche. Le directeur de mémoire est la personne qui va vous guider, vous conseiller et vous évaluer tout au long de votre parcours. Voici quelques exemples de critères à prendre en compte pour faire le bon choix.
- La compétence: Il faut que votre directeur de mémoire soit un spécialiste du sujet que vous avez choisi, qu’il soit à jour des dernières avancées dans le domaine et qu’il puisse vous apporter des références pertinentes. Vous pouvez consulter ses publications, ses communications ou ses projets de recherche pour vous faire une idée de son expertise. Vous pouvez aussi lui demander quelles sont ses attentes et ses exigences par rapport à votre travail.
- La disponibilité: Il faut aussi qu’il soit disponible pour vous recevoir régulièrement, pour répondre à vos questions et pour lire vos brouillons. Vous devez établir avec lui un calendrier de rencontres et un plan de travail qui vous conviennent à tous les deux. Vous devez aussi respecter ses délais et ses consignes, et lui faire part de vos difficultés ou de vos besoins le plus tôt possible.
- La relation: Il faut enfin que vous ayez une bonne relation avec votre directeur de mémoire, basée sur la confiance, le respect et la communication. Vous devez être à l’aise pour lui parler de votre projet, de vos idées, de vos doutes ou de vos critiques. Vous devez aussi être réceptif à ses remarques, à ses suggestions ou à ses encouragements. Vous devez éviter les conflits ou les malentendus qui pourraient nuire à la qualité de votre travail ou à votre motivation.
Choisir un directeur de mémoire compétent et disponible n’est pas toujours facile, mais c’est essentiel pour mener à bien votre projet de recherche. N’hésitez pas à vous renseigner auprès des anciens étudiants ou des collègues du directeur de mémoire pour connaître sa réputation et son style de travail. Vous pouvez aussi rencontrer plusieurs candidats potentiels avant de prendre votre décision finale. Le plus important est de trouver la personne qui vous convient le mieux et qui vous aidera à réaliser votre objectif.
2. Définissez clairement les attentes et les objectifs.
Dès le début de votre collaboration, il faut que vous et votre directeur de mémoire soyez sur la même longueur d’onde quant aux attentes et aux objectifs du mémoire. Quel est le sujet exact ? Quelle est la problématique ? Quelle est la méthodologie ? Quel est le plan ? Quel est le calendrier ? Quels sont les critères d’évaluation ? Il faut que ces éléments soient définis ensemble et que vous les respectiez tout au long du processus .
- Soyez régulier et ponctuel.
Il est important de respecter les délais et les rendez-vous fixés avec votre directeur de mémoire. Il faut lui envoyer vos travaux dans les temps et lui signaler tout problème ou retard éventuel. Il faut aussi être présent et ponctuel aux réunions et aux séances de suivi. Cela montre votre sérieux et votre motivation.
- Soyez réceptif et ouvert.
Il faut écouter attentivement les conseils et les remarques de votre directeur de mémoire. Il ne s’agit pas de suivre aveuglément ses directives, mais de prendre en compte son expertise et son expérience. Il faut être capable de discuter avec lui, de lui poser des questions, de lui faire part de vos doutes ou de vos difficultés. Il faut aussi accepter la critique constructive et être prêt à revoir votre travail si nécessaire.
3. Communiquez efficacement et régulièrement.
La communication est la clé d’une bonne collaboration. Il faut que vous informiez votre directeur de mémoire de l’avancement de votre travail, que vous lui soumettiez vos brouillons, que vous lui demandiez son avis et ses conseils, que vous lui fassiez part de vos difficultés et de vos doutes. Il faut aussi que vous écoutiez attentivement ses remarques, ses critiques, ses suggestions, ses encouragements. Il faut que vous utilisiez les moyens de communication adaptés : e-mail, téléphone, visioconférence, rendez-vous en présentiel… Il faut que vous communiquiez régulièrement, mais sans le harceler ni le solliciter à outrance.
4. Respectez les délais et les consignes.
Votre directeur de mémoire n’est pas votre seul interlocuteur ni votre seul projet. Il a d’autres étudiants à encadrer, d’autres activités à mener, d’autres contraintes à gérer. Il faut donc que vous respectiez les délais et les consignes qu’il vous donne, que vous lui envoyiez vos brouillons dans les temps impartis, que vous appliquiez ses corrections et ses recommandations, que vous suiviez les normes de rédaction et de présentation du mémoire.
5. Soyez autonome et créatif.
Votre directeur de mémoire n’est pas là pour faire le travail à votre place ni pour vous dire ce qu’il faut écrire ou penser. Il est là pour vous guider, pour vous aider à structurer votre réflexion, pour vous donner des pistes de recherche, pour vous faire bénéficier de son expérience et de son expertise. Il faut donc que vous soyez autonome et créatif, que vous fassiez vos propres recherches, que vous construisiez votre propre argumentation, que vous apportiez votre propre contribution au sujet
